Transfert en cours..., vous êtes sur le "nouveau" serveur data.abuledu.org dont l'hébergement est financé par l'association abuledu-fr.org grâce à vos dons et adhésions !
Vous pouvez continuer à soutenir l'association des utilisateurs d'AbulÉdu (abuledu-fr.org) ou l'association ABUL.
Suivez la progression de nos travaux et participez à la communauté via la liste de diffusion.

Votre recherche ...

Nuage de mots clés

Photographie | Peinture | Phares | Phares -- France | Gravure | Marchés de plein air | Dessins et plans | Géométrie | Dix-neuvième siècle | Aides à la navigation | Urbanisme | Jean-Jacques de Boissieu (1736-1810) | Marchés | Artisanat | Navigation -- Mesures de sécurité | Architecture | Géographie | Peintres français | Sécurité maritime | Monuments historiques | ...
Les phares de l'Île Vierge. Source : http://data.abuledu.org/URI/53a98595-les-phares-de-l-ile-vierge

Les phares de l'Île Vierge

Le phare de l'Île Vierge est un phare maritime construit sur un îlot à 1,5 km de la côte. Il est situé en Finistère-Nord, dans l'archipel de Lilia (commune de Plouguerneau). Construit de 1897 à 1902, d'une hauteur de 82,5 m, il est le plus haut phare d'Europe et le plus haut phare du monde en pierre de taille. Il balaie tout le nord du Finistère à 52 km à la ronde. L'intérieur est tapissé de 12 500 carreaux d'opaline provenant des usines Saint-Gobain. C'est une tour à triple paroi, tronconique à l'extérieur, cylindrique à l'intérieur, en moellons de granit, sur un soubassement de pierre supportant une lanterne de grande taille. Il y a au total 397 marches : 5 marches en granit, à l'extérieur du phare, pour accéder du socle à la tour, 360 marches suspendues en pierre de taille, toutes uniques et faites sur-mesure, pour monter au sommet de la tour cylindrique et enfin, 32 marches en fer pour atteindre la lanterne. On peut le visiter, l'accès à l'île se faisant par bateau ou à pied (uniquement lors des grandes marées). Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_l%27%C3%8Ele_Vierge

Lion de mer en Australie. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e2681c-lion-de-mer-en-australie

Lion de mer en Australie

Le lion de mer australien (Neophoca cinerea) est la seule espèce d'otarie du genre Neophoca, de la sous-famille des otarinés (Lion de mer). Il se reproduit uniquement sur les côtes sud de l'Australie. À l'heure actuelle, il reste encore environ 12000 lions de mer australiens protégés par "the Australian National Parks and Wildlife Act" de 1972 qui en a interdit la chasse commencée avec l'arrivée des immigrants européens sur le continent. Le lion de mer australien ne vit que dans l'océan proche des côtes australiennes. Il se nourrit uniquement en mer, où il chasse les poissons, calamars et autres animaux marins. Ses nageoires pectorales lui permettent de se déplacer rapidement dans l'eau et il peut se mouvoir facilement sur le sol en marchant sur ses quatre nageoires.

Livreurs : voiturier et charbonnier anglais. Source : http://data.abuledu.org/URI/515089b1-livreurs-voiturier-et-charbonnier-anglais

Livreurs : voiturier et charbonnier anglais

Livreur et charbonnier anglais, 1848, par Paul Gavarni (1804–1866), caricaturiste français. Gavarni est célèbre pour sa capacité de décrire le métier des gens à partir de leur apparence. "Londres et les Anglais": conversation entre deux livreurs de marchandises, aux marchés et dans les maisons (charbon de chauffage).

Makhila. Source : http://data.abuledu.org/URI/514c6ef0-makhila

Makhila

Le makhila ou makila est un bâton de marche doublé d'une arme appartenant à la culture et à la tradition basques. Le makhila symbolise une façon de vivre, de penser et d'honorer. Chaque pièce est unique et personnalisée par l'inscription sur le pommeau du nom, du prénom et de la devise du propriétaire, traduite en basque.

Maquette de Pergame. Source : http://data.abuledu.org/URI/52bef8c9-maquette-de-pergame

Maquette de Pergame

Maquette de la ville de Milet, avec ses marchés aux environs de 200 AD. Maquette au 1:300 faite en 1968 par H. Schleif et K. Stephanowitz (Musée de Pergame à Berlin).

Marché d'animaux. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d97e94-marche-d-animaux-

Marché d'animaux

Marché d'animaux dans les environs de Lyon, par Jean-Jacques de Boissieu (1736-1810).

Marché d'animaux au dix-huitième siècle. Source : http://data.abuledu.org/URI/53b13e3c-marche-d-animaux-au-dix-huitieme-siecle

Marché d'animaux au dix-huitième siècle

Marché d'animaux dans un village, par Jean-Jacques de Boissieu (1736-1810), peintre, dessinateur et graveur à l'eau-forte, conseiller du Roi, trésorier de finances au bureau des finances de la généralité de Lyon.

Marché des Lices à Rennes. Source : http://data.abuledu.org/URI/5296061b-marche-des-lices-a-rennes

Marché des Lices à Rennes

Le marché a lieu place des Lices, au nord-ouest du centre-ville de Rennes. Il se répartit sur la place des Lices elle-même, mais aussi place de la Trinité, place Saint-Michel et place Rallier du Baty. Deux halles construites par Martenot sont également utilisées.

Marcheur. Source : http://data.abuledu.org/URI/5150f756-marcheur

Marcheur

Marcheur de dos, en chemise, la veste sur l'épaule, un chapeau sur la tête, 1852, par Paul Gavarni (1804-1866).

P'tit bonhomme de Jules Verne. Source : http://data.abuledu.org/URI/520a7ca6-p-tit-bonhomme-de-jules-verne

P'tit bonhomme de Jules Verne

Illustration par Léon Benett (1838–1917) de Jules Verne (1828-1905) - P'tit-bonhomme, Hetzel, 1906, page 328 : LES MARCHÉS OU S’ENTASSENT LES APPROVISIONNEMENTS.

Palettes de fruits transportées par des enfants. Source : http://data.abuledu.org/URI/58c877c5-palettes-de-fruits-transportees-par-des-enfants

Palettes de fruits transportées par des enfants

Palettes de fruits transportées par des enfants en été au marché de Jérusalem.

Paquebot à vapeur. Source : http://data.abuledu.org/URI/524dc468-paquebot-a-vapeur

Paquebot à vapeur

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.187 ; manuel scolaire, édition de 1904 : PAQUEBOT A VAPEUR. - On nomme paquebots des navires à vapeur, à marche rapide, servant au transport des passagers et des lettres. Les paquebots transatlantiques sont ceux qui traversent l'Océan Atlantique, par exemple du Havre à New-York qui peuvent contenir plusieurs milliers de passagers.

Phare d'Ailly en Haute-Normandie. Source : http://data.abuledu.org/URI/535e1ec1-phare-de-ailly

Phare d'Ailly en Haute-Normandie

Le phare moderne d'Ailly a été construit sur la pointe d'Ailly, au sud-ouest de Dieppe, sur une falaise soumise à érosion. Les travaux débutent en 1951. On place cinquante deux pieux de huit mètres en béton dont la tête est coulée sous un radier de 1,60 mètre d'épaisseur. Ils sont destinés à recevoir les 1 000 tonnes du phare. La tour carrée en pierres de Mignac est revêtue, à l'intérieur, d'un parement de béton de porphyre rouge bouchardé. Le porche de la tour est en granit. L'ensemble est sobre et ses lignes pures. La lanterne à coupole est peinte en vert. Elle s'élève à 16,53 mètres du sol et à 94,58 mètres de la mer. Le vieux phare de 1775 reste en service jusqu'au 22 avril 1958, date à laquelle le phare actuel est allumé. Depuis 2001, le phare est équipé de capteurs atmosphériques destinés à mesurer la qualité de l'air. Il faut gravir 91 marches pour admirer un panorama exceptionnel : depuis les falaises de Saint-Valery-en-Caux jusqu’à la baie de Somme. Depuis le 24 novembre 2010 le phare est en totalité inscrit monument historique, à savoir : la tour, le bâtiment technique, la maison du gardien, le portail d’entrée ainsi que le tronc de la Société nationale de sauvetage en mer. Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_d%27Ailly

Phare de Calais. Source : http://data.abuledu.org/URI/5359081e-phare-de-calais

Phare de Calais

Le phare de Calais fut construit en 1848, électrifié en 1883 et automatisé en 1992. Aujourd'hui il n'y a plus de gardien mais se sont les techniciens des phares et balises qui veillent au bon fonctionnement du phare. Il remplaça la tour du Guet du XIIIe siècle. En effet, à l'époque, on allumait un feu au sommet de la tour afin d'aiguiller les marins. Il est l'un des deux phares français, avec celui de Dunkerque, à être construit près du centre ville. On accède à la lanterne par 271 marches. Il a échappé à la destruction pendant la Seconde Guerre mondiale. De jour il se distingue des autres phares côtiers environnants par sa couleur blanche et le dessous de lanterne en noir. Le phare fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le 19 avril 2011. Hauteur : 55 mètres - Elévation : 59 mètres - Portée : 43 km. Feux : 4 éclats blancs séparés sur période de 15 secondes. Optique : verre taillé à 4 panneaux, focale 0.30 m. Lanterne : Halogénures métalliques, 250 W. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_Calais

Phare de Gatteville dans la Manche. Source : http://data.abuledu.org/URI/535e6d79-phare-de-gatteville

Phare de Gatteville dans la Manche

Le phare de Gatteville, ou phare de Gatteville-Barfleur, est situé sur la pointe de Barfleur (commune de Gatteville-le-Phare), dans la Manche. Il signale les forts courants du raz de Barfleur. L'architecte Charles-Félix Morice de la Rue (1800-1880), sous le règne de Charles X, qui dessinera ensuite le phare de la Hague, conçoit les plans du plus haut phare de l'époque (dépassé depuis par le phare de l'Île Vierge). La pose de la pierre centrale a lieu le 14 juin 1828 et les travaux s'étaleront jusqu'en 1835. C'est en effet le 1er avril 1835 qu'il fut allumé pour la première fois. Il comporte autant de marches que de jours dans l'année, autant de fenêtres que de semaines et autant de niveaux (représentés par le nombre de fenêtres en façade) que de mois. Il est électrifié en 1893. Hauteur 74,75 m - Elévation 78,85 m - Portée : 29 milles (53 km) ; Feux : 2 éclats blancs 10 secondes - Optique : 2 lentilles de Fresnel à 4 panneaux 1/4 jumelés, focale 0.30 m ; Lanterne : lampes au xénon 1600 w 1 par temps clair, 2 si brume. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_Gatteville

Phare Des Baleines. Source : http://data.abuledu.org/URI/53a9916d-phare-des-baleines

Phare Des Baleines

Le phare des Baleines est situé à la pointe ouest de l'île de Ré (Charente-Maritime), sur la commune de Saint-Clément-des-Baleines. Le phare a été construit, à partir de 1849 sur des plans de l'architecte Léonce Reynaud, pour remplacer l'ancien phare de 29 mètres construit en 1682 sur les directives de Vauban et qui subsiste encore aujourd'hui au nord du phare. La mise en service eut lieu en 1854. Le phare est haut de 57 mètres et l'accès au sommet se fait par un escalier hélicoïdal de 257 marches. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_des_Baleines

Plaque d'égout isostatique. Source : http://data.abuledu.org/URI/534f9fcf-plaque-d-egout-isostatique

Plaque d'égout isostatique

Plaque d'égout isostatique : une plaque d'égout classique n'est jamais parfaitement plane ni l'appui sur lequel elle repose. Il en résulte un bruit de basculement, métal sur métal, chaque fois qu'on marche dessus ou, plus énervant encore, lorsqu'une roue de voiture la traverse. La solution a consisté à supprimer cet appui hyperstatique et à le remplacer par un appui en trois points : deux demi-plaques triangulaires jumelles dessinent un carré coupé en diagonale. Ces demi-plaques sont articulées selon deux côtés opposés du carré, le troisième appui étant constitué par la pointe que l'on relève pour accéder au regard. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Plaque_d%27%C3%A9gout

Poudre de feuilles de baobab sêchées. Source : http://data.abuledu.org/URI/52e5519c-poudre-de-feuilles-de-baobab-sechees

Poudre de feuilles de baobab sêchées

Vente de lalo (poudre de feuilles de baobab séchées) sur un marché de Joal-Fadiouth (Sénégal). Joal-Fadiouth est une commune du Sénégal située à l'extrémité de la Petite-Côte, au sud-est de Dakar. Elle réunit en réalité deux villages, Joal – le plus gros –, établi sur le littoral, et Fadiouth – le plus visité –, une île artificielle constituée d'amoncellements de coquillages et reliée à la côte par un pont de bois. La feuille de baobab riche en protéines et minéraux (calcium, fer, potassium, magnésium, manganèse, phosphore et zinc) se consomme en bouillie. Au Sénégal, le "lalo" est une poudre de feuilles de baobab séchées que l'on incorpore aux céréales ou aux sauces, notamment lors de la préparation du couscous de mil. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Baobab_africain.

Production du tabac au XVIIème siècle. Source : http://data.abuledu.org/URI/51324beb-production-du-tabac-au-xviieme-siecle

Production du tabac au XVIIème siècle

Esclaves travaillant dans un atelier de production de tabac, 1670, Virginie. Les planteurs de Virginie, menés par William Berkeley, gouverneur et propriétaire de la Green Spring plantation, la plus importante d'Amérique du Nord achètent les esclaves de la Compagnie royale d'Afrique, créée en 1672. L'époque des plantations géantes commence. L'histoire de la Virginie la voit devenir le premier producteur mondial. En trente ans, les importations françaises triplent, passant de 20 % à 70 % de la consommation intérieure. La Virginie, pour qui la France devient le premier marché (hormis l'entrepôt de négoce d'Amsterdam), en représente à elle seule 60 %.

Répartition géographique du krill antarctique. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e4605d-repartition-geographique-du-krill-antarctique

Répartition géographique du krill antarctique

Répartition géographique du krill antarctique. Il contribue à la bioconcentration des toxiques dans la pyramide alimentaire, en particulier du mercure et d'autres polluants, qu'il contient cependant en proportion bien moindre que les prédateurs "supérieurs" (grands poissons (thon, marlin, espadon... et mammifères carnivores, tels que dauphin, orque ou cachalot)). Le krill fait l'objet d'une pêche industrielle qui alimente essentiellement le marché des aliments pour animaux en farine animale (ou krill lyophilisé), pêche dont les impacts ne sont pas finement mesurés. Le krill est un filtreur important des océans, dont il diminue la turbidité. Le krill par ses mouvements et migrations nocturne/diurne ou saisonnière, a probablement une importance significative, comme d'autres espèces de zooplancton en matière de mélange des couches thermiques et/ou plus ou moins salées dans les zones où il vit.

Ressort en spirale. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c6eae5-ressort-en-spirale

Ressort en spirale

Un Slinky (aussi appelé Ondamania) est un jouet en forme de ressort, fait de métal ou de plastique, inventé par l'ingénieur en mécanique Richard James à Philadelphie dans les années 1940. La particularité de ce jouet est qu'il est capable de descendre les marches d'un escalier une fois son mouvement amorcé.

Serrure et clé médiévales. Source : http://data.abuledu.org/URI/53307688-serrure-et-cle-medievales

Serrure et clé médiévales

Serrure et clé du château de Ludlow, Shropshire, en Angleterre. Cette forteresse, qui surplombe la vallée de la Teme (en) à Ludlow, était au Moyen Âge une place-forte stratégique pour le contrôle des marches galloises, et elle fut par intermittence le siège du gouverneur anglais du Pays de Galles. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ch%C3%A2teau_de_Ludlow

Six fourmis de feu. Source : http://data.abuledu.org/URI/534b9f58-six-fourmis-de-feu

Six fourmis de feu

Les fourmis de feu (Solenopsis invicta) sont plus agressives que la plupart des espèces de fourmis autochtones et se distinguent par leur piqûre douloureuse. Lorsqu'une personne marche par inadvertance sur un de leurs tumulus, elle provoque une effervescence des insectes qui essaiment rapidement sur ses jambes et l'attaquent en masse. Les fourmis sont réceptives aux phéromones émises par la première fourmi attaquante. Les fourmis se forment alors en essaim et piquent immédiatement et indistinctement au moindre mouvement. Les fourmis de feu sont toujours en mouvement, voyageant d'une région à l'autre dans les mottes de gazon, les racines de plantes de pépinières ou d'autres produits agricoles. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Solenopsis_invicta

Spirographe. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d8309f-spirographe

Spirographe

Instrument de loisir créatif. Le Spirographe, marque déposée par Hasbro, est un instrument de dessin permettant de tracer des figures géométriques, des courbes mathématiques techniquement connues sous le nom d'hypotrochoïdes. Le Spirographe a été inventé par Denys Fisher, qui l'a présenté en 1965 au Salon du jouet de Nuremberg. Les droits de distribution ont été acquis par Kenner, qui l'introduit sur le marché américain en 1966. Le Spirographe est composé de différentes roues et d'anneaux dentés en plastique transparent. Les roues sont les pièces mobiles, et se positionnent dans les anneaux, pièces fixes, de manière à pouvoir y tourner grâce au système d'engrenages.

Statue de l'équilibriste. Source : http://data.abuledu.org/URI/53b72f62-statue-de-l-equilibriste

Statue de l'équilibriste

Statue en bronze de 1967/68 par Johannes Belz (1925-1976) : fillette marchant en équilibre sur une poutre.

Tension de surface et Gorris. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a7d25e-tension-de-surface-et-gorris

Tension de surface et Gorris

Les Gerris sont un genre d'insectes hémiptères hétéroptères (même sous-ordre que les punaises) qui ont la capacité de se déplacer sur l'eau. On les appelle parfois « punaises d'eau », et communément, mais improprement, « araignées d'eau » (sans doute du fait de leurs longues pattes). Leur adresse à se déplacer sur l'eau leur vaut aussi le nom de « patineuses » ou « patineurs de l'eau ». L'effet de tension de surface permet par exemple aux insectes de marcher sur l'eau, à un objet léger de se maintenir à la surface d'un liquide, à la rosée de ne pas s'étaler sur les pétales de fleurs, et explique la capillarité. La tension superficielle explique aussi la formation des bulles de savon et la coalescence des gouttes ou des bulles. Ce phénomène fut mis en évidence en 1804 par le savant anglais Thomas Young.

Tonnellerie au XVIème siècle. Source : http://data.abuledu.org/URI/51db5d7b-tonnellerie-au-xvieme-siecle

Tonnellerie au XVIème siècle

Tonnellerie au XVIème siècle. La diffusion du tonneau comme récipient se fait tout au long du Moyen Âge, du nord au sud de l'Europe, par le biais des rivières, des fleuves, des mers et des océans, des ports, des routes, des foires, des marchés régionaux ou internationaux (Foires de Champagne). Il accompagne l'essor des premières grandes villes marchandes italiennes, flamandes, allemandes (La Hanse), anglaises (Bristol) ou françaises (La Rochelle, Bordeaux, Nantes), puis se diffuse à d'autres continents, surtout à partir des Grandes découvertes et de l'accélération de la mondialisation, des conquêtes et du commerce transatlantique.

Tracé au crayon et à l'encre. Source : http://data.abuledu.org/URI/52ac755a-trace-au-crayon-et-a-l-encre

Tracé au crayon et à l'encre

Pour un tracé précis, il faut prendre en compte l'épaisseur de la mine de crayon ; on fait d'abord un tracé avec un crayon bien taillé, ou un critérium à mine fine, et à mine dure (qualité H, 2H, 3H, 4H) en appuyant légèrement ; puis, on repasse le résultat final à l'encre (stylo à bille ou à encre liquide) en laissant les traits de construction (on ne gomme pas) ; les outils de traçage — règles et équerres — présentent une « marche » sur certains côtés : si l'on fait un tracé au crayon ou au stylo bille, on utilise l'outil « à l'endroit », les graduations sont lisibles, le crayon ou le stylo est en contact avec le papier et avec l'outil ; si l'on fait un tracé à l'encre, par exemple avec un stylo à plume ou à mine tubulaire, on retourne l'outil, ainsi la pointe n'est pas en contact avec l'outil et l'encre ne risque pas de baver lorsque l'on enlève l'outil : Les règles et équerres on une marche qui permettent de dessiner à l'encre sans laisser de traînées lorsque l'on bouge les outils.

Trouvère contant le Décaméron. Source : http://data.abuledu.org/URI/5060e5ce-trouvere-contant-le-decameron

Trouvère contant le Décaméron

Scène du peintre pré-raphaëlite anglais John William Waterhouse (1849–1917), représentant deux trouvères assis sur des marches dans un jardin, la cithare à la main, contant le Décaméron de Boccace à cinq jeunes femmes attentives. Couple à l'arrière-plan regardant la scène. Le décaméron (du grec ancien δέκα / déka (« dix ») et ἡμέρα / hêméra (« jour »)) est un recueil de cent nouvelles écrites en italien, et non en latin, par Boccace entre 1349 et 1353, donnant ainsi naissance à la prose italienne qui marqua le genre de la nouvelle dès la Renaissance.

Ukulélé hawaiien. Source : http://data.abuledu.org/URI/533184f4-ukulele

Ukulélé hawaiien

L'ukulélé est un instrument à cordes pincées traditionnel des îles Hawaï, proche du cavaquinho portugais dont il est une adaptation. Souvent bon marché et à la mode dans la première moitié du XXe siècle, ce petit instrument polyvalent composante indispensable d’un orchestre hawaïen fut rapidement adopté par divers courants musicaux – de la chanson populaire au jazz – parfois parce qu’il apportait une dimension humoristique ou exotique à un ensemble. C'est à bord du Ravenscraga que la braguinha fut importée à Hawaï (à l'époque l'archipel était encore appelé îles Sandwich). À bord du bateau se trouvaient les trois hommes que l'histoire a retenus comme responsables de l'introduction et de la transformation d'une certaine tradition de lutherie portugaise : il s'agissait de Manuel Nunes, José do Espírito Santo et Augusto Diasa, trois ébénistes de Madère qui avaient des connaissances en lutherie et qui transportaient apparemment leurs cavaquinhos. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ukul%C3%A9l%C3%A9

Une bicyclette. Source : http://data.abuledu.org/URI/50d58c87-une-bicyclette

Une bicyclette

Une bicyclette, ou un vélo, est un véhicule terrestre composé de deux roues alignées (d'où le nom « bicyclette »). La force motrice est fournie par son conducteur (appelé « cycliste »), en position le plus souvent assise, par l'intermédiaire de deux pédales entraînant la roue arrière par une chaîne. La bicyclette est l'un des principaux moyens de transport dans de nombreuses parties du monde. Sa pratique, le cyclisme, constitue à la fois un usage quotidien, un loisir populaire et un sport. Par rapport à la marche, le vélo est trois fois plus efficace à effort égal et entre trois et quatre fois plus rapide. Il a été également calculé qu'en termes de conversion en mouvement de l'énergie issue de la nourriture, il s'agit d'une forme de locomotion plus efficace que celle de n'importe quel organisme biologique. La bicyclette ne dispose que de deux points d'appui au sol : elle se trouve nécessairement en équilibre instable. On parle d'équilibre métastable, car le passage de la position d'équilibre temporaire à une position de déséquilibre perceptible est relativement lent. Les principales forces en action sont : la gravité, qui tend à attirer le vélo vers le sol ; la force centrifuge, qui lorsque le vélo vire, tend à le redresser vers l'extérieur du virage. L'équilibre est maintenu dynamiquement par les actions du cycliste, qui s'emploie à toujours redresser sa machine en la faisant tourner légèrement dans la direction où elle commence à tomber. Le cycliste jongle donc en permanence entre ces deux forces pour compenser les effets de l'une avec l'autre et réciproquement. Il est aidé en cela par la chasse du vélo : il s'agit de la distance entre l'intersection de l'axe de la fourche avec le sol et du point de contact de la roue avant au sol. En effet, l'axe de la fourche est incliné de manière à ce que son intersection avec le sol se trouve en avant du point de contact de la roue avec le sol. Ainsi, si le vélo est penché d'un côté, la roue avant va être forcée à se placer de manière à faire tourner le vélo du même côté, engageant ainsi un virage tendant à équilibrer cette inclinaison. Enfin, on peut noter que lorsque le vélo roule, l'effet gyroscopique lié à la rotation des roues vient contrarier toute variation de la position de leurs axes. Ce phénomène est proportionnel à la vitesse de rotation des roues et à leur masse. Cet effet reste habituellement négligeable et est normalement imperceptible par le cycliste. En effet, la masse et donc l'inertie du vélo et de son pilote sont d'un ordre de grandeur supérieur à celle des roues, ce qui réduit considérablement l'influence de l'effet gyroscopique. Lorsque la vitesse augmente, l'effet gyroscopique augmente en proportion et devient plus perceptible.

Usine de raffinage. Source : http://data.abuledu.org/URI/501e23fe-usine-de-raffinage

Usine de raffinage

La Raffinerie d'Anacortes, sur l'extrémité nord de March Point, propriété de la compagnie Tesoro. E arrière plant, le mont Baker (3286 m). En 2006, la rafinerie avait une capcité de traitement de 115 000 barils par jour, une surface de 371 ha, et employait 350 personnes.

Vent oriental au Moyen Age. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c9af26-vent-oriental-au-moyen-age

Vent oriental au Moyen Age

Vent oriental au Moyen Age, l'homme, bâton sur l'épaule, vient de l'occident et marche face au vent d'est. Source : Le Tacuinum sanitatis, manuel médiéval sur la santé, basé sur le Taqwin al‑sihha تقوين الصحة (Tableaux de santé), un traité médical arabe écrit par Ibn Butlan (v. 1001-1066), médecin irakien. Ses travaux traitent de l'hygiène, de la diététique et de l'exercice physique. Il a souligné les avantages d'une prise en compte attentive du bien-être physique et mental de la personne.

Vente de sacs indiens wayuu en Colombie. Source : http://data.abuledu.org/URI/538127fd-vente-de-sacs-indiens-wayuu-en-colombie

Vente de sacs indiens wayuu en Colombie

Indigènes Wayuu, tisseuses de sacs indiens au Camellón de Riohacha, La Guajira en Colombie. Les Wayuu vivent essentiellement du tissage, dont la fabrication d'habits notamment, et cultivent une culture orale propre aux anciens peuples et aux actuelles ethnies indiennes d'Amérique du Sud. Ils parlent leur propre langue ainsi que l'espagnol. Ces Indiens sont les seuls à ne pas avoir été conquis par les Espagnols et ont maintenu une certaine indépendance dans les deux pays dans lesquels ils vivent. L'actrice vénézuélienne Patricia Velásquez, originaire de la région, a créé la fondation Wayúu Taya pour améliorer l'accès aux soins médicaux et à l'éducation pour ces populations. Le financement de cette fondation provient notamment de la vente de sacs tissés incorporant des motifs traditionnels. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Wayuu

Visite des Catacombes en 1860. Source : http://data.abuledu.org/URI/5142f543-visite-des-catacombes-en-1860

Visite des Catacombes en 1860

Visite des catacombes en 1860 : Un arrêt du Conseil d'État du 9 novembre 1785 décide la suppression du cimetière des Innocents avec évacuation des ossements, puis son réaménagement en marché public. Le nom de Catacombes est donné aux carrières aménagées, par analogie avec les anciennes nécropoles souterraines de Rome, même si les lieux n'ont jamais servi de sépulture directe et n'ont aucun caractère sacré. Durant toute son existence, plus de deux millions de parisiens sont inhumés au cimetière des Innocents. Dès leur création, les Catacombes suscitent la curiosité. En 1787, le premier visiteur, le comte d'Artois, futur Charles X, y descend en compagnie de dames de la Cour. L'année suivante, on mentionne la visite de Madame de Polignac et Madame de Guiche. Mais il faut attendre 1806 pour que les premières visites publiques soient organisées ; celles-ci ne s'opèrent qu'à des dates irrégulières pour de rares privilégiés. C'est le successeur de Guillaumot, Louis-Étienne Héricart de Thury, alors responsable du service des carrières de la Ville de Paris, qui organise les premières visites régulières dès sa prise de fonction. Il fait tracer au plafond un trait noir, servant de fil d'Ariane aux visiteurs. En 1810 et 1811, il fait aménager l'ossuaire avec la réalisation d'alignements d'ossements décorés de motifs macabres ou artistiques, et placer des plaques portant des citations gravées dans la pierre, tirées de textes sacrés, littéraires, philosophiques ou poétiques célèbres, avec un goût propre au Premier Empire. Les ouvrages de consolidation sont transformés en monuments à la pompe funéraire. Par ailleurs, l'ossuaire est isolé du reste des carrières souterraines, donnant un aspect proche de celui qu'on observe au XXIe siècle. Héricart de Thury (1776-1854) publie en 1815 la "Description des Catacombes de Paris", qui devint la base sur laquelle toutes les études postérieures s'appuient.